Glad@Tak Serveur FR4 Forum By Duckky ^^ |
| | forum officiel: le coin des bardes | |
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Auteur | Message |
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oursix
Messages : 646 Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: forum officiel: le coin des bardes Jeu 23 Juil - 15:34 | |
| Ceux qui aiment découvrir toutes sortes de textes peuvent se rendre sur le forum officiel, la taverne et découvrir des productions variées et de qualité...
http://forum.travian.fr/forumdisplay.php?f=249
bonne visite | |
| | | zinzon
Messages : 13 Date d'inscription : 26/06/2009
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Jeu 6 Aoû - 23:50 | |
| Apparement tu aimes le role play? | |
| | | oursix
Messages : 646 Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Mar 15 Sep - 18:38 | |
| Voici pour ceux qui s'intéressent autant à la plume qu'à l'épée, le RP que je viens de proposer pour le 4° tour du concours sur le forum. Comme il ne restait plus que 8 participants les thèmes proposés étaient les 4 éléments et j'ai eu droit à "la terre" Mon rp s'intitule La main verte - Citation :
- LA MAIN VERTE
« La glaine… pensle à la glaine, slème-la ! » La voix douce, un peu grave, modulait étrangement les mots qui semblaient couler sur lui. Allongé sur le sol tiède, Grégory n’apercevait qu’une svelte silhouette nimbée par les rayons du soleil déclinant, celle d’un être indescriptible à la peau cuivrée. Sa joue reposait sur un tapis moelleux, une sorte de mousse verdâtre qui tranchait avec les tonalités chaudes environnantes. Une odeur puissante et âcre s’en exhalait. Soudain une secousse… suivie d’une autre plus violente et la silhouette se dissipa. « Hé ! C’est l’heure ! Debout, Greg ! » Paulo, venu le chercher pour son quart, le secouait sans ménagement. Il enchaîna, l’œil goguenard : « Et puisque tu parlais de graine, si tu veux la casser, magne-toi ! ─ Co…comment ça ? Greg avait du mal à secouer sa torpeur. ─ Ben, c’est ce que j’ai entendu avant d’entrer, t’avais une voix bizarre, comme si tu roulais les R. Je t’attends au carré. Grouille-toi ! Eh ! faudrait pas trop te shooter au Parfum de Prairie ! »
Tandis que Paulo repartait d’un pas lourd qui faisait vibrer le plancher métallique, Grégory se rallongea sur l’étroite couchette et ferma les yeux, peu désireux de se lever. Mais il ne put renouer le fil du rêve et dut se résigner. Il ramena donc sa main pour enlever son tee-shirt trempé de sueur et roulé en boule sous sa joue. Il constata alors que son poing crispé était refermé sur une graine d’un brun noirâtre, effilée à un bout, bombée à l’autre, une enveloppe un peu luisante mais qui semblait résistante. Où diable avait-il ramassé ça ? Au même instant l’incongruité de la question s’imposa à lui : il ne pouvait pas avoir ramassé cela pour la bonne raison qu’il n’y en avait pas ici ! De surprise il lâcha la graine qui roula sur le sol. Il sauta de sa couchette pour la retrouver mais en attendant la voix ronchonneuse de Paulo, il le rejoignit dans le carré. « Eh bien ! C’est pas trop tôt ! A mon tour de prendre un peu de repos. Tu sais que tu as une sortie programmée dans 4h. Wilfried assurera la surveillance au pupitre de commandes. ─ Dis-moi, tu penses qu’on pourrait trouver des graines ici ? ─ Ah ! Ca, tu veux rire ! Je me disais bien qu’en fait de graine, tu en avais un de…grain ! Ah ! ah ! » Et fier de sa plaisanterie, il s’éclipsa en riant. Haussant les épaules, Grégory se dirigea vers la salle de contrôle. C’est vrai qu’il fallait décidément avoir un grain pour avoir accepté une telle mission. Non que le paysage grandiose qui s’étendait devant lui ne valût pas le coup d’oeil mais dans ce module posé sur le sol martien, il était bien trop loin de la Terre, minuscule étoile qui clignotait sur l’horizon. D’ailleurs en y réfléchissant la situation était paradoxale à plus d’un titre. Lui le petit-fils d’agriculteur, attaché par tradition à la glèbe, à la terre nourricière, il devait arpenter ce sol stérile, ce désert de cailloux où dominaient les oxydes de silicium, les andésites, les argiles ferro-magnésiennes qui lui conféraient ces tonalités rougeâtres si particulières. De plus, alors qu’il avait autour de lui de vastes étendues, il restait enfermé dans le module laboratoire ou emprisonné dans son scaphandre lors de chaque sortie. Comble de tout, lui qui adorait le grand air, le souffle du vent sur le visage, les parfums agrestes ou sylvestres, il était condamné à respirer de multiples relents : macérations, remugles corporels, puanteurs combinées du métal, des graisses et des plastiques surchauffés. Il avait beau actionner le distillateur, il n’obtenait que de pauvres succédanés. Bouquet des Fleurs de Prairie, Essence de Lavande, Fraîcheur du Jasmin, Senteur des Bois, Essence de Pin, tous ces parfums chimiques aux appellations pompeuses se dégradaient rapidement, devenaient vite écoeurants si on ne remettait pas une nouvelle dose pour dissiper la précédente. Rien qui rappelât vraiment les produits naturels, élaborés à partir de distillats de végétaux qui poussaient dans de la vraie terre ! Pour atténuer ces moments de nostalgie qui venaient l’envahir, il tentait de se rappeler les scènes de sa prime jeunesse quand il participait aux travaux des champs : moissons, cueillette des olives, des cerises, recherche des truffes, vendanges, ramassage des fraises, autant d’occasions qui lui avaient permis d’apprécier le temps qui passe, la valeur de l’effort, le rythme des saisons. Par dessus tout, il n’aurait jamais cru que le contact physique de la terre lui manquerait à ce point. Il revoyait la glaise grasse et luisante que tranchait le soc de la charrue dans un chuintement soyeux. Que n’aurait-il pas donné pour effectuer maintenant ce geste simple que faisait si souvent son grand-père : écraser une motte entre ses doigts pour en éprouver la texture et apprécier ses qualités. Celle en surface s’effritait rapidement, libérant de petits grains qui coulaient entre les doigts, celle que la charrue avait retournée, plus grasse, collait aux doigts, tandis que la terre noire des truffières s’effilochait et que l’ocre sablonneuse, où poussaient les asperges, libérait instantanément de minuscules grains dès qu’on la pressait. Comment avait-il pu quitter un endroit aussi varié, aussi… naturel ? Ici le sol était toujours le même ou peu s’en fallait : des cailloux de tailles variées, une couche plus ou moins dure et cette poussière impalpable qui se glissait partout et qui imposait des mesures draconiennes de sécurité. Quand il se déplaçait, il touchait à peine le sol tant il se sentait léger. Sur Terre au contraire quelle variété de contacts! Souple et élastique sous les conifères, résistant et sonore pour les terrains caillouteux, crissant et mou dans la neige, visqueux et glissant sur les sols détrempés ou boueux. Sa décision était prise : il ne renouvellerait pas son contrat et prendrait une année sabbatique pour retrouver des sensations familières, effectuer des gestes simples voire puérils : se rouler dans l’herbe, presser de la mousse, mâchonner une brindille, contempler un champ de coquelicots, gratter une écorce ou plonger le nez dans l’humus frais… Ah ! L’humble plaisir de cultiver son jardin en Candide moderne…voir sortir de terre une pousse, mordre à pleines dents dans une tomate à peine mûre ou croquer un radis qu’on vient d’arracher ! Certes il n’avait jamais eu la main verte mais il était sûr qu’en s’appliquant il ferait pousser des fleurs et des légumes, dont il suffisait de semer les graines dans le terreau amoureusement préparé. Cela lui rappela la graine. Comment était-elle venue entre ses mains ? Il n’en avait aucune idée mais peu importait. C’était là une occasion unique de tenter quelque chose qui sortirait de la routine. L’heure de sa sortie approchait. Il jeta un dernier coup d’œil aux cadrans, alla prévenir Wilfried et se rendit dans sa cabine. Il lui fallut quelques minutes pour récupérer la capsule noirâtre dans le coin où elle avait roulé. Il la glissa dans un sachet plastique, y ajouta un peu d’eau et scella le tout. Il se dirigea vers le sas de sortie, s’équipa et quitta l’habitacle pour gagner le site prévu. Trois heures plus tard, il avait récupéré quelques météorites intéressantes, effectué les relevés topographiques, les mesures et divers contrôles prévus au programme. Avant de rentrer il s’accorda un moment de répit, face au canyon rouge en contrebas dont les parois abruptes et le lit asséché portaient les traces d’une intense activité hydrologique. Etait-il concevable d’envisager le retour de l’eau ou d’un quelconque élément liquide ? Balayant ces interrogations stériles, il s’accroupit et sortit précautionneusement son précieux sachet, creusa un petit trou à l’aide du piolet, y plaça la graine sur laquelle il déversa l’eau du sachet et recouvrit rapidement le tout de sable pulvérulent. A Dieu vat ! pensa-t-il. Cette terre plutôt stérile serait-elle apte à nourrir ce qu’il venait de planter ? Avec une graine ordinaire certainement non, mais il avait l’intuition que celle-ci était plus particulière. La vie pourrait-elle renaître d’une mise en terre, d’un enterrement ?
Plusieurs jours passèrent dans la routine des opérations de prospection ou de maintenance. Il visitait régulièrement sa plantation sans observer de modification notable mais continuait d’apporter de l’eau. Il lui fallut se rendre à l’évidence : il n’avait pas la main verte. Il devint irritable et Paulo avait du mal à supporter ses sautes d’humeur.
Voilà qu’un matin à l’issue d’une énième visite, il nota avec joie la présence d’une petite pointe verte qui émergeait du sol rougeâtre. Elle se développa normalement pendant deux jours. Hélas ! Il dut ensuite déchanter car la pousse verte périclita, jaunit, vira au brun rougeâtre et parut se racornir. Découragé, il comprit qu’il n’aurait jamais la main verte. Il se sentit vidé et s’agenouilla devant la plante moribonde tandis que ses yeux devenaient humides. Sans pouvoir se retenir, il se mit à pleurer abondamment, lui qui d’habitude contrôlait ses émotions. Son masque s’embua peu à peu, sa vue et ses idées se brouillaient. Il lui semblait aussi que Yull, l’être longiligne se tenait à ses côtés, lui parlant avec compassion, de cette manière si particulière : « Pleule, pleule, sleuele l’eau de tes yeux slauvela la mèle des plantes. » Il agita les mains, pour chasser ces visions, refusant d’entendre ces paroles. La mère des plantes … Et que se passerait-il s’il la laissait mourir ? Qu’aurait fait son grand père en pareil cas ? Alors, dans un mouvement irraisonné, il détacha son casque qu’il secoua, laissant tomber sur la plante quelques gouttes d’un précieux liquide tandis que d’autres larmes continuaient d’arroser la pousse rabougrie et qu’il soufflait sur elle son dernier souffle chaud…Il eut l’impression de se dissoudre instantanément en des millions de particules avant de rejoindre Yull dans l’Au-delà martien.
Au bout d’une heure, inquiets de son retard et incapables de le joindre par radio, Paulo et Wilfried quittèrent le module. Ils repérèrent de loin le scaphandre de Grégory. Tandis qu’ils le rejoignaient, Paulo nota des modifications de l’environnement, sans pouvoir dire de quoi il s’agissait, tant il était préoccupé par le sort de leur compagnon. Le scaphandre gisait par terre, éclaté par endroits et totalement vide. Ahuri, Paulo prit conscience des bouleversements qui allaient remettre en question avec leurs certitudes, les plus solides théories élaborées par les scientifiques de renom : le sol avait changé de texture et de couleur. Il était couvert de jeunes pousses d’un brun verdâtre qui semblaient croître à une vitesse exponentielle, comme si, brusquement, elles avaient trouvé des conditions plus favorables, un terreau enrichi par un apport organique qui aurait été dispersé ça et là. Cette intense activité végétale avait eu pour effet secondaire d’élever la température, faisant fondre graduellement le permafrost et libérant un liquide jaunâtre qui ruisselait le long des parois pour constituer au fond du canyon un torrent qui grossissait à chaque instant. Parallèlement l’atmosphère se chargeait de vapeurs, des réactions chimiques se produisaient en chaîne, modifiant la texture même du sol. La terre devenait féconde, libérant des micro-organismes en sommeil depuis des lustres.
Tout en ignorant la chronologie des événements et les motivations de Grégory, sur le sort duquel il ne se faisait plus aucune illusion (car sans combinaison il est impossible de survivre plus de quelques secondes), Paulo donna le signal du retour à la base, laissant derrière lui cette marée verdâtre qui gagnait du terrain à chaque instant. Pourquoi une progression aussi rapide ? Que se passerait-il quand elle atteindrait le module ? Ces plantes étaient-elles corrosives ? Des pluies acides n’allaient-elles pas tarder à se manifester ? L’atmosphère ne risquait-elle pas en se densifiant de modifier la pression environnante ? Pour le moment sans réponse ces questions seraient bientôt éclaircies par les analyses ultérieures. Par contre d’autres seraient plus difficiles à résoudre : comment cette végétation avait-elle pu brusquement se développer sur un terrain aussi inhospitalier ? Quelle en était l’origine ? Confusément Paulo devinait que Greg était responsable de ce phénomène, volontairement ou non. Et dire qu’il se plaignait de ne pas avoir la main verte ! Il avait réussi en peu de temps une gigantesque plantation dont son grand père aurait été très fier s’il avait pu voir cela. Alors lui revint la conversation qu’ils avaient eue à propos d’une improbable graine dont il voyait mal comment elle aurait pu se trouver dans l’atmosphère confinée de leur habitacle pressurisé et aseptisé… Tandis qu’il rédigeait le rapport forcément incomplet qu’il allait transmettre sur ces événements, Paulo se disait que ces énigmes seraient résolues tôt ou tard, sauf peut-être ce qu’il avait vu sur les lieux où s’était volatilisé Grégory : le tapis vert, sur lequel reposait le scaphandre vide, reproduisait fidèlement, tel un tableau réaliste, mais à très grande échelle, le visage souriant de son ami. Cependant, peu désireux de passer pour un fou, il se garderait bien d’évoquer cet incroyable phénomène que n’avait pas remarqué Wilfried. Il appartenait à un doux rêveur enraciné dans sa terre natale, comme l’était Greg, de pénétrer les mystères de Mars et de côtoyer ses fantômes…
Dernière édition par oursix le Mer 14 Oct - 2:45, édité 1 fois | |
| | | Bigyork41
Messages : 1246 Date d'inscription : 22/06/2009 Age : 43 Localisation : Gre
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Mer 16 Sep - 13:47 | |
| Longue lecture mais très intéressante ! Tiens mous au courant de ton classement ! | |
| | | oursix
Messages : 646 Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Mer 14 Oct - 2:42 | |
| Un petit cocorico à l'heure où notre ally se distingue dans le top 10 des pillards avec une mention particulière à Jefsyl: Edwina planque tout, il arrive! A mon tour donc de me distinguer sur un terrain moins risqué, celui de l'écriture puisque je passe le quatrième tour pour atteindre les demi-finales: http://forum.travian.fr/showthread.php?t=70498 | |
| | | Bigyork41
Messages : 1246 Date d'inscription : 22/06/2009 Age : 43 Localisation : Gre
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Mer 14 Oct - 9:38 | |
| Bravo Oursinus ! | |
| | | Dragondazur
Messages : 122 Date d'inscription : 23/10/2009 Age : 50
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Ven 23 Oct - 13:03 | |
| Voila le Dragondazur Qui se remet à l'écriture, Je réponds à ton appel, Oursix,mon ami fidele. Ou en est ton aventure? Une finale sans coup dur? Vous travaillez l'ère Prochaine, j'espère! | |
| | | oursix
Messages : 646 Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Sam 24 Oct - 14:48 | |
| Eh oui on partira pour Cythère Mais cela ne sera pas pépère. Il faudra éviter le mur En allant droit, c'est le plus sûr. On prendra des cc à la pelle, On châtiera les infidèles; On aura certes fière allure Viens donc dans notre ally future! | |
| | | Dragondazur
Messages : 122 Date d'inscription : 23/10/2009 Age : 50
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Sam 24 Oct - 20:09 | |
| Alors j'attends calmement le jour Où je comparaîtrerai devant mes frères. Je cherche âme qui vive aux alentours, Un compagnon pour faire la paire. Je suis prêt pour la chasse à cour, Viens, ennemi, que je t'éviscère! J'arrive en courant à ce carrefour, Qu'ensemble nous croisions le fer! | |
| | | oursix
Messages : 646 Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Dim 25 Oct - 0:16 | |
| Bravo mon ami Te revoir ici, Oui, c'est je le dis: Un plaisir sans prix Plein d'allant, de vie, Tout plein d'énergie. Travian c'est reparti! | |
| | | Dragondazur
Messages : 122 Date d'inscription : 23/10/2009 Age : 50
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Dim 25 Oct - 11:43 | |
| Il n'est point de commentaires futiles, A tes côtés, je ne me fais pas de bile. Ta plume, d'hibours, est très habile, Ta lecture n'en est plus que facile. Du serveur 4, j'attends le crépuscule, Avant, tu me trouves sur mon monticule, Devant aucun ennemi, je ne recule, Et je ne crains pas le ridicule! | |
| | | lonewolf
Messages : 112 Date d'inscription : 27/08/2009
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Dim 25 Oct - 13:24 | |
| Quand l'ours et le dragon Se défient en joutes oratoires Les vils ennemis, entendant ces parangons Subjugués, effrayés par ces histoires Se retranchent en leurs villages Par peur d'être rasés comme Carthage Ils montent murs et palissades Mais même jusqu'au ciel, sans foi Ces piètres efforts seront vains, cent fois Anéantis par qui ? Glad@Tak! une lapalissade... | |
| | | Dragondazur
Messages : 122 Date d'inscription : 23/10/2009 Age : 50
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Dim 25 Oct - 18:49 | |
| Enchanté de faire la connaissance D'un descendant de Fenrir le terrible! Tes vers sont plein d'aisance, et tes phrases plus que crédibles! Face à nous j'en ai conscience Des couards serons nos cibles! J'offre de quoi remplir vos panses, Que nos rimes soient une bible! | |
| | | lonewolf
Messages : 112 Date d'inscription : 27/08/2009
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Dim 25 Oct - 19:10 | |
| En réponse à Dragondazur Quand l'enchantement est réciproque Mettons nos sagas en peinture, en lasure Pour décrire ce que seront ces terribles époques Sans barde, pas de souvenir Juste du sang, sans avenir Que ce sang versé, couleur vermeil Se transforme par nos rimes en merveille | |
| | | Bigyork41
Messages : 1246 Date d'inscription : 22/06/2009 Age : 43 Localisation : Gre
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Lun 26 Oct - 12:32 | |
| Je n'ai, tristesse, pas le niveau pour envoyer mes rimes ci haut Qu'elles communient avec les votre. Je crains de faire partie des autres les persuadés que la discussion doit-être postérieur à l'action. Il reste pourtant agréable de lire des vers véritables. | |
| | | oursix
Messages : 646 Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Lun 26 Oct - 16:34 | |
| Pour des vers impromptus Les tiens, me semble-t-il, ont eu Beaucoup de fluidité, Comme si tu étais habité Par une véritable muse! Et tout cela m'amuse. Aussi je te dirai : bravo, Ne crains surtout pas tes rivaux ! | |
| | | Dragondazur
Messages : 122 Date d'inscription : 23/10/2009 Age : 50
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Lun 26 Oct - 23:20 | |
| Cette bande de duellistes me ravie! La bataille des mots prends vie! C'est ton coeur cher orc qui donne Un sens aux mots que tu donnes! Chacun de vous offre du bonheur en barre, comme l'or, a ses heures. Pour bientôt, aiguisez vos lames, A l'unisson, accordons nos âmes! | |
| | | Dragondazur
Messages : 122 Date d'inscription : 23/10/2009 Age : 50
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Ven 30 Oct - 0:08 | |
| Le Dragon descend de son pic Pour une envolée lyrique. J'attends l'aventure épique De notre alliance unique. De côté, je mets mon éthque, Hé barman, un Gin Tonic! Je le jure, c'est véridique, Je vais me finir à l'alambic! | |
| | | oursix
Messages : 646 Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Ven 30 Oct - 0:17 | |
| Toujours des vers bien esthétiques: Trouver la rime c'est le hic Ta présence tombe à pic Et j'abats l'as de pique! Bientôt des batailles épiques, Des combats à la Moby Dick Qui a dit:"22 voilà les flics" Pas de fuite, c'est trop pratique ! | |
| | | lonewolf
Messages : 112 Date d'inscription : 27/08/2009
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Ven 30 Oct - 1:15 | |
| Je fais appel au juridique Pour départager ces deux loustics Je me sens petit lombric Devant tant de technique Pour lutter, il me faut un aspégic Mais bon, laissez le loup lyrique Oser sa petite gymnastique Son esprit et son coeur, c'est féérique Font alors de l'aéronautique | |
| | | Dragondazur
Messages : 122 Date d'inscription : 23/10/2009 Age : 50
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Ven 30 Oct - 1:47 | |
| Je crois que j'ai bien bu, hic, En cette heure fatidique! Traitez moi d'alcoolique, Je répondrais par des mimiques! Je m'en vais faire la nique A ces vers dutirambiques! Je pars casser des briques, Plonger dans des pensées lubriques! | |
| | | oursix
Messages : 646 Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Ven 30 Oct - 10:59 | |
| La maison accepte, C'est un précepte, Tous types de vers: Les rouges et les verts Les doux et les pas mûrs, Les moches et les purs, Ceux qui crient et ceux qui pleurent Et ceux qui arrivent après l'heure! | |
| | | Bigyork41
Messages : 1246 Date d'inscription : 22/06/2009 Age : 43 Localisation : Gre
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Jeu 5 Nov - 11:42 | |
| Une participation Seulement d'écriture. Mais que l'attente est dure, Vivement de l'action. La bataille toute épique Avec des lances, des pics Je l'aime cruellement et sur passionnément. | |
| | | lonewolf
Messages : 112 Date d'inscription : 27/08/2009
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Jeu 5 Nov - 14:16 | |
| Comme tu as raison ! Les armes sont aiguisées Piaffent les cavaliers et piétons A quand les duels à l'épée ? Toujours pas d'action à l'horizon Que d'attente, je suis frustré ! Bientôt, on y croit, l'inscription Et enfin, oh joie, on va se lâcher | |
| | | oursix
Messages : 646 Date d'inscription : 25/06/2009
| Sujet: Re: forum officiel: le coin des bardes Jeu 5 Nov - 23:04 | |
| Que cela fait plaisir D'entendre retentir Dans le calme feutré Régnant dans l'atelier Ces vers si aiguisés. Je sens que nous aurons Bien des occasions Pour faire des échanges Quand la plume dérange! | |
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